Qu’est-ce que « Fuis mon bien-aimé » dans le travail?
J’ai entendu, Tamouz, 1944
Il convient de savoir que lorsque l’homme commence à emprunter le chemin et qu’il veut tout faire pour le Créateur, il connaît des états d’ascensions et de chutes. Parfois, l’homme connaît une chute si terrible qu’il pense fuir la Torah et les Mitsvot. Cela signifie que des pensées l’assaillent et qu’il n’est pas désireux d’être sous l’autorité de la Sainteté.
Dans ce cas-là, l’homme doit croire que c’est le contraire. C’est la Sainteté qui le fuit, car lorsque l’homme veut endommager la Sainteté, celle-ci le devance et le fuit en premier. Si l’homme croit en cela et qu’il se surpasse lors de la fuite, alors ce qui a « fui » devient ce qui est « béni », comme il est écrit : « Bénis Seigneur sa vaillance et agrée l’œuvre de ses mains. »