Je regarde le petit point qui s'appelle l'amour du prochain et je pense: qu'est-ce que je pourrais faire pour faire plaisir aux gens?
Quand je les regarde, je vois les souffrances individuelles, les maladies, les douleurs, les souffrances individuelles venant de tous les peuples, c’est-à-dire les guerres entre les pays. Mais, à part une prière, je n'ai rien à donner.
Cet état s'appelle « compatir moyennement aux malheurs des autres ».