J’ai entendu, le cinquième jour de Vayera, 1953

Il faut qu’il y ait une préparation de l’intellect, dans ce travail qui renvoie à la foi. Cela signifie que si l’on est négligent dans le travail de la foi, on tombe dans un état de vouloir seulement la connaissance, ce qui est une Klipa [écorce], laquelle va à l’encontre de la Shekhina [Divinité]. Ainsi, le travail est de se renforcer en tout temps et de renouveler l’intellect.

De même, si l’on se sent négligent dans le travail du cœur, il faut renforcer le travail qui se rapporte au cœur et effectuer des actes opposés, comme mortifier le corps, qui est l’opposé du désir de recevoir.

La différence entre la négligence dans le travail de l’intellect et le travail du cœur, c’est qu’il y a une mauvaise Klipa en face de l’intellect, ce qui peut conduire à un état « douter des débuts ». Par conséquent, on doit effectuer des actes opposés, ce qui signifie qu’à chaque renouvellement de l’intellect, on doit prendre sur soi les remords du passé et accepter l’avenir.

On peut recevoir la source qui l’a causé du minéral. Le sujet du revêtement de la foi est perpétuel et éternel. Par conséquent, on pourra toujours l’avoir pour mesurer si le travail est propre ou non, car le revêtement de la Shekhina disparaît seulement en raison d’un défaut, soit dans l’intellect, soit dans le cœur.