J’ai entendu, le 10 Tévet, 1er Février 1928, Guivat Shaül (Jérusalem)
Il faut examiner si la foi est correcte, c’est-à-dire si l’on a la crainte et l’amour, comme il est écrit : « Si je suis père, où est mon honneur, et si je suis un Maître, où est la crainte que je suscite ? » Ceci est appelé l’intellect.
Il faut aussi voir à ce qu’il n’y ait aucun désir d’autosatisfaction, que même la pensée de désirer quelque chose pour soi ne lui vienne à l’esprit, mais, que tout ce qu’il a soit uniquement de donner au Créateur. C’est ce qui s’appelle le « cœur », dans le sens que « le Créateur désire le cœur ».