Ce que j’ai entendu en privé, Vayera, Novembre 1952
La foi est appelée Malkhout, interprétée comme l’esprit et le cœur, c’est-à-dire le don et la foi. Et opposé à la foi se trouve le « prépuce », qui est la connaissance. Il est de coutume de prendre en compte le prépuce tandis que la foi, qui est appelée « La Shekhina [Divinité] », est dans la poussière. Ce qui signifie que ce travail est considéré comme humiliant et chacun évite de marcher sur ce chemin. Mais seulement ceci est appelé le chemin des justes et de la Kedousha [sainteté].
Le Créateur veut que Ses noms soient révélés seulement de cette manière, car ainsi il est certain qu’ils n’endommageront pas les lumières supérieures, puisque la base entière est le don et la Dvékout [adhésion], et les Klipot [écorces] ne peuvent sucer de ce discernement puisque toute leur succion vient de la réception et de la connaissance.
Où il y a la domination du prépuce, la Shekhina ne peut recevoir en elle les lumières supérieures, sans quoi les lumières tomberaient dans les Klipot. C’est pourquoi il y a le chagrin de la Shekhina, signifiant qu’il empêche les lumières supérieures de s’étendre en elle afin qu’elle puisse donner l’abondance aux âmes.
Ceci ne dépend que des inférieurs. Car le supérieur peut seulement donner la lumière supérieure ; ce n’est pas le cas pour la force du Massakh [écran] afin que l’inférieur ne veuille pas recevoir dans les récipients de réception, cela dépend du travail des inférieurs, c’est-à-dire que les inférieurs doivent faire cette vérification.